Ça y est, le moment tant attendu approche et bientôt vous vous envolerez vers d’autres horizons pour profiter d’un séjour à l’étranger. Et pour que le vol se déroule sans trous d’air, mieux vaut prendre le temps de vérifier trois détails en amont. Il serait dommage d’être refoulé à la porte d’embarquement.
Avoir des documents en règle et en cours de validité
Bien sûr, nombreux sont ceux qui arrivent la bouche en cœur le jour J et constatent avec étonnement qu’en raison d’un défaut de conformité de documents, ils ne peuvent prendre leur avion. Pour éviter cela, mieux vaut se renseigner et veiller qu’en terme de formalités administratives tout est en règle. Visa, passeport, formalité pour les enfants mineurs, sortie du territoire, permis de conduire international ou encore vaccins, tout doit être checké et ce, pour vous mais aussi pour tous les membres de la tribu qui voyagent à vos côtés. Ces formalités administratives vérifiées plusieurs mois avant le départ pour éviterons un stress de dernière minute.
Organiser le trajet domicile-aéroport aller mais aussi retour
Comme il est rare d’habiter à proximité immédiate du tarmac, il est parfois nécessaire de se rendre à l’aéroport par le biais d’un moyen de transport. Bien sûr, le RER pour se rendre à Roissy CDG ou Orly n’est pas des plus pratique, le taxi peut s’avérer bien onéreux et le co-voiturage parfois incertain. Il y a toujours l’option du train mais entre les grèves, les retards et les changements à combiner, ce n’est pas une option toujours viable d’autant plus avec des valises. Une autre option est d’opter pour un moyen plus économique en réservant une place de parking pour être sûr d’arriver à l’heure à votre enregistrement sans se soucier au retour de la logistique pour rentrer chez vous. Et, cerise sur le gâteau, vous pouvez bénéficier de l’option voiturier.
Gérer ses bagages
Les produits interdits
De nombreux produits sont interdits depuis le 6 novembre 2006. Raison pour laquelle, mieux vaut les éviter et faire en sorte de ne pas prendre de liquide – parfum, dentifrice, aérosol, gel, savon, shampoing par exemple – de plus de 100 ml et ce, quel que soit le contenant. Placez-les dans un sac en plastique transparent refermable, le tout dans un bagage à mains sans excéder 1 litre et 20×20 cm de dimensions notamment. Des exceptions existent à l’image des médicaments liquides avec la prescription médicale – ordonnance médicale ou certificat du pharmacien – à votre nom, les produits achetés en zone duty-free mais aussi les aliments pour bébé. Pour les cas particuliers – traitements médicaux lourds, appareils respiratoires par exemple – mieux vaut se rapprocher de la compagnie aérienne pour connaître les démarches à suivre.
La typologie des bagages
Concernant les conditions imposées – poids et dimensions maximum – des bagages en soute et/ou en cabine, notez bien lors de l’achat du billet ce qu’il vous est possible de prendre. En effet, un excédent de bagage varie selon les compagnies mais aussi selon la destination. En général, cela peut coûter 10 euros par kilo supplémentaire voire des frais d’enregistrement supplémentaire de 35 euros minimum. Tout dépassement sera d’ailleurs à régler l’enregistrement le jour du départ. Pour éviter ce contre-temps fâcheux, il est opportun de limiter ses affaires au strict nécessaire en optant pour des vêtements pratiques, fonctionnels et légers et surtout veiller à bien peser ses bagages avant le départ. Petite astuce, mettez ce que vous avez de plus lourd sur vous, ce sera toujours ça en moins.
Les objets atypiques
Pour les objets moins standards comme les instruments de musique, les équipements sportifs – planche à voile, snowboard notamment – ou encore des armes, il convient de se rapprocher impérativement de la compagnie aérienne. Il en est de même pour les animaux de compagnie. La prise en charge, le transport, la franchise diffèrent là encore d’une compagnie à l’autre.
